chanson antillaise pour Pâques
04/04/2021 23:46 par pierre-jean
J'ai envie de légèreté pour les fêtes de Pâques !
(m'ouai, le chocolat, même si délicieux, c'est un peu lourd pour le gentil estomac.)
Aussi, je vous propose un petit voyage chez nos amis les Antillais....
Avec une chanson, pour les enfants, et les grands enfants = "on va danser le carnaval" - =
# Comment fait-on le chocolat ? #
Dio cho é pi kako
Ou ka mété miskad adan
Ou ka mété vanni adan
De l'eau chaude avec du chocolat
Grajé grajé grajé kannel la oui
Grajé grajé grajé po citron la
Grajé grajé grajé kako la
Rapez rapez rapez le cacao
Rapez rapez rapez la cannelle
Rapez rapez rapez la muscade !
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Pierre-jean =
Voyez plutôt la jolie vidéo très colorée, avec des personnages formidables, des musiciens, et des danseurs ; dans un style un peu enfantin, mais frivole !
Ah ! ça fait du bien après avoir avalé 3 kilos de chocolat ! sourires
Alors, bonnes fêtes de Pâques, en chanson, et même au-delà de l'océan Atlantique !
Salut, à très bientôt
pierre-jean
"LA RECLUSE" / OU : NE RESTONS PAS ENTRE QUATRE MURS
21/03/2021 20:57 par pierre-jean
Si l'on pouvait se faire violence un peu plus souvent, et tenter de ne pas rester en permanence cloîtré entre les quatre murs de béton....à savoir, dans son appartement, ou dans sa maison... et voir ce qu'il se passe dehors, là-bas, plus loin, voir comment vivent les autres, être à proximité d'autres "territoires", ou s'engager dans d'autres univers. Sans forcément parcourir des dizaines de kilomètres, ou des centaines de kilomètres.....
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Extrait tiré du chapitre 3 de "Notre Dame de Paris" de Victor Hugo.
# La cellule était étroite, plus large que profonde, voûtée en ogive, et vue à l'intérieur ressemblait assez à l'alvéole d'une grande mitre d'évêque. Sur la dalle nue qui en formait le sol, dans un angle, une femme était assise ou plutôt accroupie. Son menton était appuyée sur ses genoux, que ses deux bras croisés serraient fortement contre sa poitrine. Ainsi ramassée sur elle-même, vêtue d'un sac brun , qui l'enveloppait tout entière à larges plis, ses longs cheveux gris rabattus par-devant, tombant sur son visage, le long de ses jambes jusqu'à ses pieds, elle ne présentait au premier aspect qu'une forme étrange, découpée sur le fond ténébreux de la cellule, une espèce de triangle noirâtre, que le rayon de jour venant de la lucarne tranchait crûment en deux nuances, l'une sombre , l'autre éclairée.
C'était un de ces spectres mi-parties d'ombre et de lumière, comme on en voit dans les rêves et dans l'oeuvre extraordinaire de Goya (peintre espagnol - 1746 - 1828 -), pâles, immobiles, sinistres, accroupis sur une tombe ou adossés à la grille d'un cachot. Ce n'était ni une femme, ni un homme, ni un être vivant, ni une forme définie : c'était une figure ; une sorte de vision sur laquelle s'entrecoupaient le réel et le fantastique, comme l'ombre et le jour. A peine sous ses cheveux répandus jusqu'à terre distinguait-on un profil amaigri et sèvère ; à peine sa robe laissait-elle passer l'extrêmité d'un pied nu, qui se crispait sur le pavé rigide et gelé. Le peu de forme humaine qu'on entrevoyait sous cette enveloppe de deuil faisait frissonner.
Cette figure qu'on eût crue scellée dans la dalle, paraissait n'avoir ni mouvement, ni pensée, ni haleine. Sous ce mince sac de toile, en janvier, gisante à nu sur un pavé de granit , sans feu, dans l'ombre d'un cachot dont le soupirail oblique ne laissait arriver du dehors que la bise et jamais le soleil, elle ne semblait pas souffrir, pas même sentir. On eût dit qu'elle s'était faite pierre avec le cachot, glace avec la saison. Ses mains étaient jointes, ses yeux fixes. A la première vue, on la prenait pour un spectre, à la seconde pour une statue.
Telle était la créature qui recevait de son habitacle le nom de "recluse" et de son vêtement le nom de "sachette". #
Article mis en place, mis en forme le 21/03/21 par Pierre-Jean.
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Tiens donc, deux mots sont mis en relief dans cet extrait = bise, et soleil : finalement, que préférez-vous .... l'une ou l'autre ? Si vous voyez ce que je veux dire......
Ciao, portez-vous bien surtout !
Amitiés
Pierre-Jean
Les poissons-aiguille
14/02/2021 01:24 par pierre-jean
BARJAVEL / LA NUIT DES TEMPS. I
# Tout allait bien, le ciel était bleu, la coupole ronronnait doucement.
Païkan se dévêtit et rejoignit Eléa dans la piscine. En le voyant arriver, elle rit et plongea. Il la retrouva derrière les voiles irisées d'un poisson-rideau nonchalant qui les regardait d'un oeil rond, corail.
Païkan leva les bras et se laissa glisser derrière elle. Elle s'appuya à lui, assise, flottante , légère . Il la serra contre son ventre, prit son élan vers le haut et son désir dressé la pénétra. Ils reparurent à la surface comme un seul corps.
Il était derrière elle, et il était en elle, elle était blottie et appuyée contre lui, il la pressait d'un bras contre sa poitrine, il la coucha avec lui sur le côté et du bras gauche se mit à tirer sur l'eau. Chaque traction le poussait en elle, les poussait tous les deux vers la grève de sable.
Elea était passive comme une épave chaude. Ils arrivèrent au bord et se posèrent, à demi hors de l'eau. Elle sentit son épaule et sa hanche s'enfoncer dans le sable. Elle sentait Païkan au-dedans et au-dehors de son corps. Il la tenait cernée, enfermée, assiégée, il était entré comme le conquérant souhaité devant lequel s'ouvrent la porte extérieure et les portes profondes. Et il parcourait lentement, doucement, longuement, tous ses secrets.
Sous sa joue et son oreille, elle sentait l'eau tiède et le sable descendre et monter, descendre et monter. L'eau venait caresser le coin de sa bouche entrouverte. Les POISSONS-AIGUILLES frissonnaient le long de sa cuisse immergée. Dans le ciel où la nuit commençait, quelques étoiles s'allumaient. Païkan ne bougeait presque plus. Il était en elle un arbre lisse, dur, palpitant et doux, un arbre de chair, bien-aimé, toujours là , revenu plus fort , plus doux, plus chaud, soudain brûlant, immense, embrasé, rouge, brûlant dans son ventre entier, toute la chair et les os enflammés jusqu'au ciel.
Elle étreignit de ses mains les mains fermées autour de ses seins et gémit longuement dans la nuit qui venait.
Une immense paix remplaça la lumière. Elle se retrouva autour de Païkan. Il était toujours en elle, dur et doux. Elle se reposa sur lui comme un oiseau qui s'endort. Très lentement, très doucement, il commença à lui préparer une nouvelle joie. #
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".... et l'avantage, avec le poisson-rideau, c'est qu'on a la possibilité de le tirer, ce rideau, si on le souhaite..... quand l'arbre de chair devient ... rouge ! " Pierre-jean.
Vive le sport ! Les voeux pour 2021 de Thomas Ruyant
02/01/2021 22:33 par pierre-jean
BONNE ANNEE 2021 !
Mais je laisse le soin à l'immense aventurier Thomas Ruyant, 4 ème du VENDEE GLOBE pour l'instant, d'utiliser quelques mots sortis de sa propre bouche, à propos de la nouvelle année. Ce gars-là se bat avec une force incroyable, seul, face aux immenses océans et mers de la planète.
Il suffit de regarder sa dernière vidéo.
"Mes voeux pour 2021, sont les suivants : que cette saloperie de virus disparaisse ! En attendant, on espère donner un peu de rêve aux gens. Heureusement, le sport peut continuer. J'ai le sentiment , aujourd'hui, d'avoir une totale liberté sur l'océan Pacifique, même si je dois forcément rester à bord de l'embarcation !
Voilà, et puis j'espère que les bars seront ouverts quand on arrivera aux Sables d'Olonne !.
Bonne année à tous !". Ouai, pour les bistrots, que ses souhaits soient exaucés !!
Thomas Ruyant (tout sourire dans la dernière vidéo), se bat, au jour d'aujourd'hui, avec Damien Seguin pour la 3ème place. Il se trouve à 400 miles du leader, positionné au Nord, et il espère se refaire d'ici le Cap Horn.
Note : 1 miles marin international (miles nautique) équivaut à 1 852 mètres ( à la différence du miles terrestre qui équivaut à 1 609,344 mètres.
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Bon vent Thomas !
Et pour vous tous, je vous souhaite de prendre bien soin de vous, en occultant autant que faire se peut, les peurs de toutes sortes.......
Salut, Pierre-Jean
NOEL. "Jamais vu plus loin que toi"
24/12/2020 01:14 par pierre-jean
Inspiré par la très belle chanson d'Isabelle Boulay "JAMAIS", pour évoquer le sens de ces deux jours à venir.
# J'ai dressé les cordes du temps
Et marché sur d'autres planètes,
Je suis allé au bout du vent
Mais c'est ici que tout s'arrête.
J'ai fait 100 fois l'tour de la terre
Goûté l'eau de toutes les fontaines
Touché le coeur de la lumière
Sans jamais rien qui me retienne.
Où que je sois, jusqu'où j'irai,
Y a les traces de tes pas.
J'voudrais te dire que j'ai jamais
Jamais, jamais, jamais vu plus loin que toi.
J'ai jamais, jamais vu plus loin que toi ! #
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Bien à vous
A bientôt,
Pierre-Jean
Le grand Delon. Un "intranquille", selon Sonia Mabrouk
19/12/2020 15:37 par pierre-jean
J'aime.
Ses films sont extraordinaires, et quel charisme !
Lui, se considère comment un "accident", c'est-à-dire qu'il insiste sur le fait qu'il est devenu Acteur, par hasard. Il n'a fréquenté aucune école particulière, celle qui vous forme pour devenir comédien. Et c'est là que Delon fait le distinguo entre Acteur et Comédien. " Gabin, lino Ventura, et moi-même", dit-il, nous sommes des "accidents", dans l'univers du cinéma. "Nous sommes des acteurs, nous vivons totalement les rôles que nous interprétons, dit-il encore. A la différence de Belmondo, par exemple, qui est un comédien, ce qui ne l'a pas rendu moins talentueux, évidemment".
Personnellement, le film "Deux hommes dans la ville", avec Gabin, m'a beaucoup plu, ému.
"La piscine", avec Romy Schneider, nous offre un film tourné sous un soleil brûlant (un soleil de vacances, et d'amour), avec deux monstres sacrés du cinéma français, magnifiques, Romy et Alain.
Mais la liste des grands films tournés par Delon est tellement longue........
A voir, n'hésitez pas, sur You Tube =
# Delon, invité de Pascal Praud, en 2019 (L'heure des Pros 2 du 18/04/2019)./:
Mais attention : l'émission a une valeur encore plus grande, avec la présence de la délicieuse Sonia Mabrouk, journaliste. "Vous êtes très belle", lui dit Delon, très détendu. "Vous êtes magnifique aussi" répond Sonia. Elle ajoutera " ce qui plaît, et qui a plu chez vous, c'est que vous êtes le symbole de l'"intranquillité."
De mon point de vue, on découvre dans cette émission, un "Delon" (monsieur Delon) relaxe, souriant, assez humble, et franc.
Vous m'en donnerez des nouvelles - peut-être - de cette émission !
Donc, soyons aussi "relaxes" avant la période des fêtes, ou des "non-fêtes", nous sommes heureusement libres de nos choix. Faisons preuve d'imagination et de combativité, si, hélas, il y a une absence de fête, celle dont on avait plus ou moins rêvé les semaines précédentes.
Salut !
Pierre-jean
Les oiseaux ne meurent pas
03/12/2020 18:24 par pierre-jean
BARJAVEL : "La nuit des temps"
Rappel :
# L'Antarctique. A la tête d'une mission scientifique française, le professeur Simon fore la glace depuis ce qui semble une éternité. Dans le grand désert blanc, il n'y a rien, juste le froid, le vent, le silence.
Jusquà ce son, très faible. A plus de 900 mètres sous la glace, quelque chose appelle. Dans l'euphorie générale, une expédition vers le centre de la Terre se met en place. #
"...... A moins neuf cent dix-sept mètres, les mineurs du froid trouvèrent dans la glace un OISEAU.
Il était rouge, avec le ventre blanc, les pattes corail, une aigrette de la même couleur, dépeignée, le bec jaune, trapu, entrouvert, l'oeil roux et noir, brillant. Avec ses ailes à demi déployées, distordues, sa queue retroussée en éventail, ses pattes raidies en coup de frein, il avait l'air de se débattre dans une rafale de vent arrière. Il était hérissé comme une flamme. ( !! ) ..... on découpa autour de lui un cube de glace et on l'envoya à la surface."
Pierre-jean : j'ai rajouté les deux points d'exclamation après "flamme", dans la phrase ci-dessus, extraite du roman. En effet, comment penser une seule seconde que l'oiseau rouge soit mort ?! OUI, il brille encore de mille éclats et de mille étincelles. Ces hommes ont trouvé dans la glace une joie imprévue dans une inimaginable lueur d'espérance.
C'est le petit oiseau éternel.
[ Mis en place et imaginé par Pierre-Jean le 3/12/2020 (à partir du roman de Barjavel). ]
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Allé, belle journée à toutes et à tous
Salut
PJ
"REVIENS, LA NUIT"
15/11/2020 01:44 par pierre-jean
Le 11/11/2020, je repère un article intéressant dans cette revue achetée à la Presse : Courrier International n° 1565 du 29/10/20 au 04/11/2020. C'est un article que l'on trouve dans le quotidien portugais "Publico" =
Je résume le contenu de cet article =
# La nuit est d'ordinaire un endroit où les esprits se confrontent et s'adaptent à la différence et à de nouvelles réalités #
Néanmoins.....
# Un grand vide. Après l'annonce d'un "couvre-feu", celle du confinement... Un grand vide et l'impression que tout recommence, que tout est à refaire. Le rebond épidémique est fort. Ailleurs en Europe, on referme aussi, le jour, la nuit également ! ... en Italie, en Espagne, en Irlande, au Royaume-Uni, en Allemagne : retour à la case Départ. C'est-à-dire chez soi, loin de toute forme de sociabilité, de possibilités de rencontres, de sorties...
Et que devient le monde de la nuit ?
Car c'est un peu de tout cela, la vie nocturne : une économie, celle des bars, des restaurants ; de la culture, avec les théâtres et les cinémas ; mais aussi un lieu d'expérimentation, une échappatoire parfois, une partie non négligeable de notre quotidien.
Ca n'a l'air de rien, mais c'est un espace de vie important dont nous sommes privés. Le quotidien Publico est allé interroger des noctambules, mais aussi des philosophes, des sociologues, des chercheurs, des artistes, des DJ, qui tous parlent de l'importance de la nuit, dans notre équilibre, dans nos constructions. " La nuit est un lieu de discussions, de cohabitation, de création, de transgression, de séduction et d'inattendu, un esprit où les esprits se confrontent et s'adaptent à la différence, et à de nouvelles réalités" écrit Publico.
La nuit offre un espace de décrochage d'avec ce personnage du quotidien, qui bien souvent phagocyte l'individu tout entier et le réduit à ce qui n'est au fond qu'une facette construite par soi et les autres. Plus grave, un psychologue cité par Publico s'attend à voir émerger des pathologies associées à l'isolement qu'entraîne l'interdiction de l'"espace nuit", en particulier chez ceux qui en étaient des habitués. # Fin de cet article.
Ma réaction :
J'attends impatiemment de replonger dans ces moments fantastiques, à 1h, 2h, 3h du matin, et plus encore..... sur les pistes des discothèques. Pour me métamorphoser en un "Mickael Jackson", pour de longues minutes qui s'apparentent à de longues heures.... en glissant sur le sol tel un surfeur, en bougeant mon corps comme un nuage avance dans le ciel... au rythme d'une musique folle qui me rend plus sage ! ( il n'y a plus aucune interrogation concernant le sens de la vie !), plus libre, plus désinvolte aussi....
En attendant, on chante à la maison sur des karaokés, et c'est déjà extra....
Bon courage à tous et à toutes
Salut !
Pierre-Jean
A venir : "Reviens, la nuit"
11/11/2020 11:02 par pierre-jean
Inspiré par un article de la revue "COURRIER INTERNATIONAL" n° 1565, je publie mon prochain article "Reviens la nuit".... très très très prochainement !
# LA NUIT EST UN ENDROIT OU LES ESPRITS SE CONFRONTENT, ET S'ADAPTENT A LA DIFFERENCE, ET A DE NOUVELLES REALITES #
Que devient le monde la nuit, dans nos villes européennes ?
Allé, à très très vite ! On s'accroche!
Pierre-Jean
LES ORPHELINES
25/10/2020 00:27 par pierre-jean
En trois mots, "prise de tête", je résume ce qui me tombe dessus, quelquefois, le matin... avant d'aller bosser.
Et même, assez souvent ! Je perds du temps, et deviens presque comme un ours en cage, lorsque je ne parviens pas à reconstituer LA paire de chaussettes dont j'ai besoin ! Je me demande même s'il n'y a pas un sorcier marabout qui ne me joue pas un sale tour : comment cela est-il possible que chaque chaussette soit unique, il n'y en a pas deux pareilles ! Ils les vendent bien par DEUX, nom de nom !
Cependant, il peut arriver que le résultat soit presque bon : " ah.... ça y est... deux grises, de la même couleur, du même style, oui mais avec un motif différent sur le côté : une ligne rouge pour l'une, une ligne bleue pour l'autre ! GRRRRRRRRRR !! ça me bouffffffffe !
Bon, ok, c'est moi le seul fautif de l'histoire : c'est pourtant facile.... de les mettre par paires, la veille...... quoi que .... je n'en suis même pas certain, que ça soit si facile. Je reconnais ne pas faire ce genre d'exercice, si j'ai un moment tranquille dans la journée... disons le soir, en regardant la télé, par exemple.
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Quelques citations :
" Les scandales ( - et non les sandales - ) sont comme les trous aux chaussettes. On ne s'en inquiète pas tant qu'on est le seul à en connaître l'existence (de Bernard Haller, célébrité acteur-comique).
" S'il n'y a pas de trou dans tes chaussettes, tu ne peux pas les mettre" (Pierre Légaré, artiste comique).
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Il existe par ailleurs une chanson pour les enfants = "chaussettes orphelines" (Album "les poux").
Grosso modo, les paroles de cette chanson :
" Où est ta chaussette " / "ça me prend la tête" / "j'en ai tout une pile de chaussettes orphelines" / T'as cherché partout ? .... dans tous les tiroirs.... sous le canapé.../ derrière la télé, et dans le lave-linge, j'ai rien trouvé / Tête de linotte ! /
Et dans l'aspirateur ? Dans le micro-ondes....... ouvre le frigo ! Tiens, dans la cheminée, on ne sait jamais. Et dans les toilettes ?
MAIS C'EST PAS POSSIBLE, où est ta chaussette ? C'est pourtant facile, de les mettre par paires.
Et le petit Rémi qui se rapproche de son papa : " euh... j'aurais bien voulu dire quelque chose".
"Quoi ? "
" à propos des toilettes.... justement...."
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J'ai déjà rencontré le même problème .... pour les gants. Un gant différent, pour chaque main.
Mais les gants, on ne les porte pas toute la journée, bien évidemment, et on s'en débarasse assez vite, dès qu'on est abrité !
# Bon week-end, et soyez prudents #
Pierre-Jean