La solution militaire. Evasion, Initiatives, Résilience...
20/03/2016 22:21 par pierre-jean
SUITE : "Le manifeste du Camp n°1". Jean Pouget
EVASION. Oh oui..... s'évader, s'évader !!!!
Ma sélection : P.135. # Noël à Hanoï! Ces trois mots étaient chargés d'espoir, jusqu'à la gueule comme une bombarde. Les trois capitaines, LE Riantec, Couloubre, et Walter-Boris se répétaient cette petite phrase comme une devise ou un programme. Ils l'échangeaient entre eux comme un mot de reconnaissance, une prière incantatoire ou un souhait avant de s'endormir.
Les préparatifs d'une EVASION - comme les PRELIMINAIRES de l'AMOUR - sont le meilleur moment de l'aventure, plus agréables peut-être que la minute d'intense joie du succès, brève comme un SPASME de jouissance. La décision prise, le plus fol espoir devient possible, l'objectif le plus éloigné accessible Oubliéés les servitudes de la vie quotidienne, la lente déchéance de la résignation!...
Le secret des conjurés les isole de ceux qui acceptent la captivité, les unit entre eux et magnifie leur amitié que les réalités de l'action, les souffrances de l'effort, l'épuisement de la marche et l'égoïsme de cette lutte pour la vie que sera l'évasion n'ont pas encore dégradée.#
---------------------------------
N'AYONS PAS PEUR D'AVOIR LE RÖLE DU CHEF. UN JOUR OU L'AUTRE, IL FAUT PRENDRE LES "BONNES DECISIONS" et MEME GUIDER LA TROUPE! "INITIATIVES".
# Ils se sont groupés et parlent à mi-voix. Comment reconnaître le bon chemin.
- Alors, décide toi-même, répond François d'un ton agacé. A droite ou à gauche ? C'est pile ou face." Martial n'aime pas le jeu. Il ne confie rien au hasard parce que le hasard l'a toujours desservi. Il veut bien écouter l'avis des autres, mais les autres ne disent rien et le bruissement de l'eau sur les feuilles renforce ce silence. Il est le chef. C'est à lui de décider, de prendre la responsabilité. "La piste de gauche risque de nous ramener à Quang-Uyen, dans la gueule du loup. On prend à droite, c'est moins dangereux et ensuite on verra bien. Allez, en avant, nous perdons du temps".
Le taillis dégouline d'eau. Ils sont trop près de la piste pour faire du feu et le bois mouillé fume. Marsan sort du sac une boule de riz cuit, celui du dernier repas du camp. Les "camouflés" lui ont donné une part de leur ration en guise de cadeau d'adieu. Le riz mouillé est pareil à une pâte de colle froide. "Avec un peu de piment sauvage et quelques grains de sel, c'est délicieux, dit Couloubre".#
--------------------------------------
FORCE INSOUPCONNEE CHEZ LES ENFANTS ! .... RESILIENCE.
Page143. " Jacques avait douze ans lorsque son père a été tué. Mais on ne l'avait pas appris de suite. Sa mère espéra encore tout l'été de 1940. Chaque jour, elle allait se renseigner au bureau de prisonniers de guerre, à la caserne.
Un soir d'octobre en rentrant de classe, il trouva sa mère en larmes. Elle le serra contre sa poitrine. Il sentait sur sa joue l'humidité des larmes. Elle lui dit que son papa était parti pour un long voyage... Il FIT SEMBLANT DE LA CROIRE, mais c'était enfantin. Il savait parfaitement que son père était mort à la guerre, "mort pour la France", et ON NE PLEURE PAS UN SOLDAT... Ce soir-là, il avait joué longtemps dans sa chambre, la chambre de derrière qui donnait sur la petite rue dont il pouvait identifier tous les bruits. Il joua longtemps avec ses soldats de plomb. Son père était le chef de l'armée française. A cheval, il attaquait un château fort allemand et se faisait tuer au moment où il plantait le drapeau français au sommet du donjon.#
-----------------------------
......VOUS AUSSI, LES ENFANTS, VOUS ETES DE VRAIS HEROS ! Pierre-Jean
VITAMINE LOVE
16/03/2016 19:25 par pierre-jean
Attention devant : VITAMINE LOVE POUR LE COUPLE"
" Regarder votre conjoint ".
1 / Prenez le temps de regarder votre conjoint (e)...
Moi : " c'est très difficile de la regarder, elle n'arrête pas de bouger : serpillière, repassage, et au magasin, faut qu'elle cherche dans tous les rayons"
2/ de vous émerveiller de ce qu'il / elle est..
Moi : " oui, une assez bonne cuisinière..."
3/ de ce que vous aimez chez lui/elle.
Moi : " attends voir.... quand elle se tait..."
4/ Prenez le temps de le/la regarder dormir. (ou de le/la regarder différemment).
Moi : " je peux pas, je dors aussi".
5/ Regardez-le/la comme si c'était la première fois.
Moi : " même après avoir vidé la bouteille de vin, je n'y arrive pas... c'est pas faute d'essayer...".
.... Bon, je sais... je passe pour un macho.... quoi ? C'est peu dire ?
En fait, voyez plutôt ..... si je vous disais.... que je... cuisine, oui, et que je fais briller... le carrelage..... que je repasse fort bien....
..... Vous pouvez le croire, une telle chose, à savoir que je sais faire .... tout ça ? Eh bien, je vous répondrais encore : "Vous m'avez bien regardé ?"
Belle soirée, amitiés Pierre-Jean
Roselyne Bachelot... dopée !
12/03/2016 22:26 par pierre-jean
TENNIS : "INDIAN WELLS". 12/03/16
N A D A L réclame justice.
Accusé de dopage par l'ancienne ministre des Sports Roselyne Bachelot, l'Espagnol a décidé de saisir les tribunaux. Le clan français se montre SOLIDAIRE du Majorquin.
Gilles Simon, représentant des joueurs au board de l'ATP, affirme : "je suis complètement solidaire du fait que Rafael attaque parce-que j'en ai marre que les gens puissent dire n'importe quoi sur n'importe qui, en toute impunité."
Mais qu'a-t-elle dit Roselyne ? Ceci : " On ne révèle pas les contrôles positifs... On sait à peu près que la fameuse blessure de Rafael Nadal, qui a entraîné sept mois d'arrêt de compétition (en 2012 - 2013), est très certainement due à un contrôle positif".
Roselyne : " je n'ai fait que reprendre les déclarations d'un certain nombre de journalistes et de joueurs. " On lui demande alors si elle dispose de preuves autres que des déclarations. " Bien évidemment non ! Je ne tiens pas les éprouvettes"...........
-----------------------------
Mon avis :
Bon, et si Roselyne se dopait ? ça ferait pousser les dents, en plus. Plus sérieusement, je pense que personne n'est dupe... énormément de sportifs se dopent, toutes disciplines confondues.
Toutefois, Roselyne, comme un certain nombre de Gaulois, doit en avoir ras la casquette que ce soit toujours les joueurs "étrangers" qui parviennent en finale de Roland Garros. Alors, elle s'agite...... elle s'énerve, s'impatiente. Mais que diable, madame Bachelot, laissez Nadal tranquille ! C'est un gars qui a travaillé comme un forcené toute sa vie, rares sont les mecs qui ont travaillé aussi durs ! Que Roselyne vienne voir ses séances d'entraînement, elle comprendra pourquoi il est aussi physique et elle respectera un peu plus son travail.
Choqués, c'est le mot qui convient, nous sommes choqués par vos propos, madame Bachelot.
Salut Pierre-Jean
Le mal est à l'intérieur de nous.... il faut l'expulser.
09/03/2016 22:18 par pierre-jean
Jean-Claude GUILLEBAUD : "Je n'ai plus peur". Roman.
-----------------------------------
Sénèque : " Le mal, il ne faut pas croire qu'il s'est imposé à nous venant de l'extérieur ; il n'est pas en dehors de nous, il est à l'intérieur de nous [...] Il faut travailler pour l'expulser".
Ma sélection : Page 125.
"Nous sommes tous capables de tout". La phrase est superbe.
Il n'y a pas d'un côté les "bons" et de l'autre "les méchants" ; le moralisme qui voudrait cataloguer ainsi les humains est mensonger. Elle nous met également en garde contre la revendication d'INNOCENCE portée aujourd'hui par l'irrépressible mouvement de déculpabilisation de la modernité. Le "progressisme" contemporain clame qu'il est urgent de déculpabiliser l'argent, la jouissance, l'infidélité, le mensonge, et bien d'autres travers.
Le projet paraît sympathique, mais il ne l'est pas autant que cela. Pour que chacun puisse proclamer son innocence, il faut convenir que le mal n'existe que chez l'autre, le "monstre", le "criminel-né", ou le "récidiviste". Pour purger la société du mal qui l'habite comme un virus, il suffira alors d'éliminer cet autre. Ce n'est pas par hasard que toutes les spiritualités se méfient de cette INNOCENCE revendiquée comme un droit de l'homme.
Elle porte en elle une logique de purification, c'est-à-dire d'extermination, que les idéologies du XXème siècle ont portée au paroxysme.
Nos sociétés postmodernes, insouciantes, vaniteuses, amnésiques oublient qu'au sens géologique du terme elles dansent sur un volcan. L'équivalent du volcan véritable, c'est ce que le philosophe Michel Henry appelait "La Barbarie".
Le risque d'éruption barbare est aggravé par notre disposition collective au consentement, pour ne pas dire la collaboration. Dans toute société humaine cohabitent l'esprit de résistance et le tropisme "collabo". Or, les crises fragilisent dangereusement ce qui tenait à distance les passions méchantes et les jouissances ambiguës.
Dans nos sociétés démocratiques, il y a cette volonté d'externaliser le mal en le localisant chez l'AUTRE, le DIFFERENT, le MARGINAL, ou le PAUVRE.
-------------------------------------
Pierre-Jean
SCHWEPPES
06/03/2016 20:50 par pierre-jean
Une pub vachement bien foutue, j'en boirais 3 bouteilles d'affilée, même si je ne suis pas fou... de schweppes... AAAARRRGGGHHH
Vous vous attendiez à quoi ? Pour moi, ce qui est meilleur que le Schweppes, c'est la pétillante et sexy Pénélope Cruz... même si pour elle, "il n'y a rien de meilleur que le Schweppes !" .... ( quelqu'un parmi vous peut croire qu'une telle chose soit possible ? Soit elle s'intéresse plutôt à Pierre-Jean, ou soit aux deux à la fois !! Pierre et Jean dans le même emballage... Clin d'oeil les copains).
Pierre-Jean
Cette fois-ci, Schweppes s'était lancé dans le débat du siècle, celui qui fait descendre dans les rues les familles accrochées aux traditions: l’homosexualité. moderne, Penélope traverse une salle de bal renversant au passage les âmes envoûtées par son allure divine (ou démoniaque, au choix). Au loin, une jeune femme blonde la regarde venir, subjuguée. Elle perçoit avant même de pouvoir la toucher toutes les vibrations de son corps, ses parfums divers, ses textures chaudes et glacées. Étouffée par tant de grâce et de désir, la victime tente une dernière fois de trouver l’air en ouvrant légèrement sa bouche, pulpeuse, rose comme un petit matin d’été dans la campagne et s’apprête à offrir son être tandis que Penélope, coquine, se rapproche d’elle, se penche et… Mais qu’attendiez-vous? Que les scénaristes laissent deux femmes s’embrasser pour vendre une boisson jeune et sucrée? Ce n’était qu’un piège tendu pour attirer votre attention. Un truc qui vous pique l’esprit comme un Schweppes Agrum éclate le palais dès la première gorgée.
Seule phrase du clip, le slogan: «Hey what did you expect?» («Hey, vous vous attendiez à quoi?») clôt le débat à peine ouvert ici sur l’homosexualité chez les femmes du XXIè siècle en milieu urbain. On n’est pas là pour discuter de sujets de société, on est là pour boire un truc frais qui change un peu.
C'est bon quand ça pétille autant ! P-J
"Mémoires de guerre". Charles de Gaulle
04/03/2016 20:14 par pierre-jean
Ce qu'on ignore peut-être sur les réserves et des dépôts de la Banque de France, évacués en partie sur le Sénégal, au moment de l'invasion allemande dans l'Hexagone, tandis qu'une autre fraction était mise à l'abri dans les caves de la Fédéral Bank américaine....
*
Page 126 : L'AFRIQUE.
De Gaulle écrit :"Quelques jours avant le départ, une âpre discussion fut soulevée par les Anglais au sujet de la destination que je donnerais, en cas de réussite, à un stock d'or très important qui se trouvait à Bamako.
Il s'agissait de métal précieux entreposé par la Banque de France pour son compte et pour celui des banques d'Etat belge et polonaise.
A travers le blocus, les frontières, les postes de garde, l'or de Bamako était épié attentivement par les services de renseignements des divers belligérants. Les Belges et les Polonais désiraient, très légitimement, que leur part leur fût laissée et je donnai à M. Spaak, comme à M. Zaleski, les assurances convenables. Mais les Britanniques, qui ne revendiquaient, évidemment sur le tout aucun droit de propriété, entendaient, cependant, disposer de cet or comme moyen de régler directement leurs achats en Amérique, alléguant qu'ils le faisaient dans l'intérêt de la coalition !
A cette époque, en effet, les Etats-Unis ne vendaient rien à personne qui ne fût payé comptant. Malgré l'insistance de Spears, la menace même qu'il me fit de voir les Anglais renoncer à l'expédition convenue, je refusai cette prétention. Finalement, il fut entendu, comme je l'avais, dès l'abord, proposé, que l'or français de Bamako servirait à gager seulement la part d'achats que l'Angleterre aurait à faire en Amérique pour le compte de la France combattante......."
Pierre-Jean
Catherine
03/03/2016 19:02 par pierre-jean
Durant la projection d'un film pornographique, on entend des gémissements dans la salle de cinéma. L'ouvreuse vient voir la personne en question :
- Voyons Monsieur, un peu de dignité !
- AAAaaaaAAAAAA !! gémit-il encore
- Un peu de silence, vous n'êtes pas seul. Et puis relevez-vous, vous êtes ridicule
- AAAaaaaAAAAAA !! gémit-il encore
- Ça suffit ! Montrez-moi votre ticket ! La personne s'exécute. Mais monsieur, vous n'êtes pas à votre place, ceci est un ticket de balcon.
- AAAAAAAAAaaaaaaaaa, je sais, je viens d'en tomber !
----------------------------------------
Trêve de plaisanterie...... le 7ème art, le cinoche, c'est mon dada. Enfin... un de mes multiples dadas.
Je propose qu'on commence par Catherine... Deneuve. Déjà, ce prénom ne me laisse pas du tout indifférent... Un vrai prénom féminin, de mon point de vue, qui a de la classe, qui comporte un quelque chose ... de vigoureux, qui a je ne sais quoi de romanesque.
Ce n'est pas "Et Dieu créa la femme", avec notre Brigitte nationale, BB, mais on n'en est pas loin....
Pierre-Jean
2/ "Et la lumière créa le monde...Des Couleurs hurlantes"
02/03/2016 18:38 par pierre-jean
"Le Manifeste du Camp n°1". Les Officiers français prisonniers du Viet-Minh.
Volet 2.
Page 86 : "Le caporal-chef Lelièvre dit au lieutenant Marsan :
" La première fois que j'ai vu la mer, c'était en 1937, en colonie de vacances avec les Faucons Rouges.... Cette fois, je m'étais promis que quand je serais grand, j'irais voir ce qu'il y a de l'autre côté de c'te mare à harengs.
Le bateau avait fait une courte escale technique à Singapour. Ils avaient contemplé ensemble le lever du soleil sur la baie.
En queques secondes, la grisaille bleutée et moite de la nuit fondit, et la lumière créa le monde.
Sous leurs yeux, surgit de l'espace un paysage dessiné en lignes de couleurs hurlantes, teintes irréelles pour un oeil d'Occidental formé aux nuances des pays tempérés. L'émeuraude de la mer se brisait net sur les taches sanglantes des coraux. Dressés sur leurs racines déchaussées, tels des échassiers, les palétuviers semblaient vouloir enjamber la ligne d'écume de neige qui bordait la côte, et des familles de cocotiers ployaient de concert leurs têtes frisées au bout d'un long col gracile. La colline blanche de la ville était piquetée de verdure, ornée de bouquets de flamboyants en feu....
"Je croyais pas que ça soit possible, avait murmuré Lelièvre. Vous savez, dans notre rue, c'est tellement laid et sale que les jeunes pour s'en sortir se font truands... Les meilleurs ils entrent au Parti... pour faire quelque chose de propre. Moi, j'ai choisi les paras... C'est pas facile, mon vieux voulait me casser les reins".
Ce bouquin.... que du bonheur ! Pierre-Jean
1/ Le manifeste du camp n°1.
01/03/2016 20:54 par pierre-jean
Le Manifeste du camp n°1. Jean Pouget.
461 pages, un régal, une très belle plume. Un pur chef-d'oeuvre. Pas seulement un témoignage, mais aussi une littérature originale, exaltante.
# Le calvaire des officiers français prisonniers du Viet-Minh. #
" Au-delà du col de Louang-Phaï, il n'y avait plus de présence française, seulement des débris de troupes, des épaves de colonnes. Vers le Nord, la vue s'étendait à l'infini sur des montagnes couvertes de jungle, des chaînes chaotiques avec, ça et là, la cassure vive d'un calcaire, blanc comme un os dans une plaie de fracture ouverte. Sur ce relief en folie, le ciel boursouflé de gros nuages de mousson pesait de tout son poids de chaleur, de lumière et de silence.
La fièvre amplifiait sa vision. Derrière ses yeux clos, le capitaine Le Riantec se débattait contre une image de cauchemar. Il se voyait infime et dérisoire au milieu d'éléments infinis...
Un point dans un monstrueux système de coordonnées à quatre dimensions : l'espace, la lumière, la chaleur, et le silence.
Au-delà du col de Louang-Phai , il n'y avait plus d'humanisme gréco-latin. Du col de Louang-Phaî à l'Elbe, du rideau de bambou au rideau de fer, c'était le monde communiste, un empire de 15 000 kilomètres. Une masse de plus d'un milliard d'hommes."
Pierre-Jean
Les crabes ont faim. 2... Et "Qui est Pierre-Jean" ?
29/02/2016 19:23 par pierre-jean
Les crabes ont faim, tout naturellement,
et on n'observera aucune violence chez eux,
comme pour la plupart des animaux.....
pauvres crabes, si mignons, et cantonniers de surcroît,
qui doivent nettoyer les fonds marins!!
Bon, c'est l'occasion de me présenter. Pierre-Jean.
Poète, passionné d'écriture, proche de la nature,
un penchant pour la créativité, et....pas plus mauvais,
ni meilleur qu'un autre, un gars attentif
à son entourage, à son environnement, voilà.
Avec une inclination pour la dérision, la caricature...
d'ailleurs, je dessine aussi, et j'ai en effet
une preference pour la caricature. Pour moi,
la caricature n'est pas méchante, elle EST caricature,
tout simplement. Enfin, pour revenir
à l'article "les crabes ont faim - 1 -", je dirais déjà
que le groupe de nanas "les coquettes" est génial...
elles se marrent sur des sujets multiples et variés,
et elles ont bien raison...... Je garde le sourire
(il manquerait plus que quelqu'une ou quelqu'un me l'enlève!),
et suis, c'est vrai, incisif, quand j'èvoque le cas
de ces désespérés de la vie....
Qui menacent de se foutre en l'air.
Mais faut-il le préciser, et nombreux sont ceux
qui l'auront compris, il s'agit de ceux chez qui ...
c'est devenu une manie, une habitude...de menacer.
Et cela, je le perçois comme très brutal, très angoissant
pour leur entourage...et en effet, ces personnes-là
vont entraîner les autres dans LEUR precipice.
J'ai la conviction, par ailleurs, que les personnes
aussi faibles psychologiquement ou moralement,
ne pourront, ne sauront tenir le coup dans des
contextes très sérieux, tels que justement guerre,
maladie, ou épreuves terribles de toutes sortes....
Mais pourquoi dans le fond ? Leur nature,
leurs CROYANCES, pour ne pas dire leur foi en la vie,
ne semblent manifestement pas assez fortes
pour faire face aux difficultés de nature diverse.
C'est tout. Et je le dis sans haine ni colère!!!
N'en déplaise à certaines, à certains, il m'arrive
d'être même charitable..... Nous ne sommes pas là
pour pleurnicher, et je rejoins le groupe "les Coquettes"
qui, encore une fois, avec beaucoup de détachement,
de dérision, d'humour (l'humour est indispensable,
sinon on va vite se noyer!!! C'est le cas de le dire)
chantent : " Si tu veux te faire sauter la cervelle,
pas de soucis, ça partira à l'eau de javel!".
Alors....Bienvenue sur mon blog à toutes et à tous,
avec toute la sincérité d'un homme, un homme...
tout simplement, ni prétentieux, ni trop frileux!!!
Et mon nom est... Pierre-Jean !
Beau week-end à toutes et à tous.
La vie est magnifique, le crabe marin vous pince,
regardez, vous souriez, parce-que....ça vous chatouille!!!
"Les Coquettes"
Les écrits de Pierre-Jean