Bougeons-nous le c..
06/11/2016 10:01 par pierre-jean
LE SPORT, C'EST LA VIE !
Enfilez vos baskets, amies, amis ; courez, sautez ; enfourchez vos vélos ; saisissez-vous de votre ballon, ou de ce que vous voudrez !
"Bouge, bouge ton corps !", avant que le mal ira le bouger à ta place... et le tordra, comme un vieux torchon.
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"LA VIE EST COURTE". "PAS DE MARCHE ARRIERE"
VENDEE GLOBE, LES SENIORS DU BORD.
Autant dire que les quatre sexagénaires de 2016 ne partent pas favoris d'une édition promise à des loups de mer plus jeunes, juchés sur des machines de course plus rapides que celles de nos quatre seniors, dont trois font la course sur des bateaux anciens ou d'une conception dépassée.
Seul le milliardaire néerlandais Pieter Heerema, 65 ans a pu s'offrir un monocoque équipé de foils, ces patins conçus pour soulever le bateau dans certaines conditions de vent et qui devraient faire la différence à l'arrivée. Régatier confirmé sur dériveur, cet industriel dans le pétrole dit être là "pour se faire plaisir, sans autre ambition que de réaliser la boucle". Le nom de son bateau " No way back" (PAS DE MARCHE ARRIERE) est, à cet égard, significatif de son programme, comparable à celui de l'américain Rich Wilson, 66 ans, doyen de la flotte, qui part pour "voir des albatros dans le grand Sud". Cet ancien professeur de mathématiques à Harvard, invariablement vêtu d'un blazer à la ville, court dans la même catégorie que l'hirsute et sympathique Irlandais O'Coineen, solide marin de 61 ans, par ailleurs président de l'Association des pubs irlandais.
"Ils ont bien raison de se faire plaisir, la vie est courte et le Vendée Globe reste une aventure" déclare Boissières, skippeur de la "Mie Câline" et un des mieux placés pour évoquer le désir de mer des aînés.
"On ne se lasse pas de la mer, le plaisir d'une belle manoeuvre réussie est incomparable et nous avons la chance d'être sur des machines passionnantes".
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Faisons-nous plaisir, bougeons, de mille et une manières, mais bougeons
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13 h 02 : Départ du Tour du Monde en solitaire ! Même pas peur !
Pierre-Jean
De la grâce (2)....
29/10/2016 19:33 par pierre-jean
JJ. Rousseau : "Soyez amant heureux, mais respectueux ; obtenez tout de l'amour, sans rien exiger du devoir, et que les moindres faveurs ne soient jamais pour vous des droits, mais des GRÂCES."
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A méditer ! : "Les caprices ont de la grâce, mais le crime est, pour satisfaire un caprice, d'éveiller une passion durable" (André Maurois).
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Johann Wofgang Von Goethe. "La beauté des femmes ne veut rien dire, elle est bien trop souvent une image figée. Je ne peux célébrer qu'un être d'où jaillissent les joies de vivre et la gaieté. La beauté féminine se suffit à elle-même, mais la grâce rend irrésistible." FAUST
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"Tout le monde n'est pas parfait (...). Tout le monde ne peut être à la hauteur de tes attentes (...). Les êtres humains sont humains. Nous perdons tous la grâce à un moment ou à un autre.
(R.J Ellory).
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Amitiés Pierre-Jean
De la grâce....
26/10/2016 19:10 par pierre-jean
La grâce. Ce quelque chose en plus que possèdent certaines, certains d'entre nous.
Je parlerais même d'une forme de "classe", ou de classe, tout court, en évoquant la grâce.
"La grâce, plus belle encore que la beauté" (Jean de la Fontaine).
Et je veux aborder le sujet de la grâce, en publiant deux ou trois articles sur ce thème-là. Car la grâce rehausse les atouts physiques, ou les diverses qualités des personnes, et ces derničres sont alors sublimées.
Pierre-Jean
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J'aime beaucoup cette citation : "Il y a un art caché dans la simplicité qui donne une grâce à l'esprit et à la beauté" (Alexander Pope).
Celles-ci sont sympas aussi :
- "La grâce est à la beauté ce que la souplesse est à la rose. Sans grâce, la beauté n'est qu'une fleur artificielle, qu'un colibri sans vie". (J. Napoléon Vernier).
- "La beauté réside dans la forme ; la grâce dans les mouvements, le charme dans l'expression."( Lucien Arréat. 1911).
Magnifique citation : "On admire d'un coup d'oeil la beauté, elle ne laisse plus à rien à deviner. La grâce se fait aimer peu à peu par des détails variés, imprévus, qui vous plaisent d'autant plus qu'ils vous surprennent, et ces petits défauts d'ensemble sont quelquefois des charmes qui nous attachent." (Louis-Philippe de Ségur).
Belle semaine à vous
Pierre-Jean
"Mais accouche, sacrebleu!"
09/10/2016 20:50 par pierre-jean
A lire : "L'étonnement philosophique". Jeanne Hersch
SOCRATE. Page 28
"Je sais que je ne sais rien". Cette célèbre parole de Socrate à la Pythie, à la suite de quoi elle déclara qu'il était l'homme le plus sage d'Athènes - ne reflète aucune modestie excessive. Elle signifie : j'ai aiguisé mon sens du vrai à tel point que mon exigence de vérité ne se contente plus des apparences de vrai que je tiens parfois pour valables. Ce que je possède, c'est l'exigence d'une vérité plus haute, non la vérité elle-même.
Nous saisissons ici la différence radicale qu'il y a entre Socrate et les philosophes précédents : l'aiguillon de la recherche n'est plus dirigé vers l'explication du monde ou la compréhension de l'être en soi, mais vers l'homme qui cherche lui-même. La conscience que l'homme a du monde s'interroge sur elle-même. Mieux : ma propre conscience s'interroge sur elle-même. Je m'interroge sur mon propre savoir, sur mes propres pensées, et je découvre que mon savoir est dans une large mesure un non-savoir, pour peu que mon exigence de vérité devienne assez forte.
Nous trouvons ainsi chez Socrate une pédagogie du savoir créateur, un dévoilement du non-savoir, qui suscite chez le disciple l'exigence du vrai dans son authenticité.
La mère de Socrate était sage-femme. Socrate disait qu'il exerçait la même profession que sa mère : la maïeutique, l'art d'accoucher. Il accouchait les esprits. Il n'enseignait pas du dehors, mais il éveillait chez l'autre le sens du vrai, déjà donné, mais engourdi, trop vite satisfait.
Cette démarche repose sur une CONFIANCE FONDAMENTALE en l'homme. L'autre est un être humain, il a donc en lui le sens du vrai. Il suffira de l'accoucher !
Cette confiance de Socrate plonge ses racines dans la conscience qu'il avait de lui-même et dans son propre courage.
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Ainsi, moi qui ne veux que du bien pour mon prochain, et pense que c'est réciproque, je ne dirai pas à celui-ci : "tu es une mère pour moi", mais plutôt : " tu es une vraie sage-femme pour moi"!
Salut, belle semaine à vous, et bonne "maïeutique" ! P-J
Le génie de Zola (2)
08/10/2016 21:11 par pierre-jean
"Au Bonheur des Dames". Zola
Ou encore ce passage-là, page 132 :
"Elles ne l'interrompaient plus, elles resserraient encore leur cercle, la bouche entrouverte par un vague sourire, le visage rapproché et tendu, comme dans un élancement de tout leur être vers le tentateur. Leurs yeux pâlissaient, un léger frisson courait sur leurs nuques. Et lui gardait son calme de conquérant, au milieu des odeurs troublantes qui montaient de leurs chevelures.
Il continuait à boire, entre chaque phrase, une petite gorgée de thé, dont le parfum attiédissait ces odeurs plus âpres, où il y avait une pointe de fauve. Devant une séduction si maîtresse d'elle-même, assez forte pour jouer ainsi de la femme, sans se prendre aux ivresses qu'elle exhale, le baron Hartmann qui ne quittait pas M. Mouret du regard, sentait son admiration grandir."
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Tout est si bien suggéré... Pierre-Jean
Le génie de Zola
07/10/2016 22:19 par pierre-jean
"Au bonheur des Dames". Zola.
Page 136. "D'ailleurs, ces dames n'avaient pas lâché les dentelles.
Elles s'en grisaient. Les pièces se déroulaient, allaient et revenaient de l'une à l'autre, les rapprochant encore, les liant de fils légers.
C'était, sur leurs genoux, la caresse d'un tissu miraculeux de finesse, où leurs mains coupables s'attardaient. Et elles emprisonnaient Mouret plus étroitement, elles l'accablaient de nouvelles questions. Comme le jour continuait de baisser, il devait par moments pencher la tête, effleurer de sa barbe leurs chevelures, pour examiner un point, indiquer un dessin.
Mais, dans cette volupté molle du crépuscule, au milieu de l'odeur échauffée de leurs épaules, il demeurait quand même leur maître, sous le ravissement qu'il affectait. Il était femme, elles se sentaient pénétrées et possédées par ce sens délicat qu'il avait de leur être secret, et elles s'abandonnaient, séduites ; tandis que lui, certain dès lors de les avoir à sa merci, apparaissait, trônant brutalement au-dessus d'elles, comme le roi despotique du chiffon."
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Zola fait de la jeune fille, Denise, et de son puissant patron amoureux d'elle le symbole du modernisme et des crises qu'elle suscite. Personne ne pourra plus entrer dans un grand magasin sans ressentir ce que Zola raconte avec génie : les fourmillements de la vie.
Salut Pierre-Jean
L'Equipe, oui...mais là, c'est une petite équipe.
25/09/2016 21:29 par pierre-jean
En effet, faut pas se paumer ! : ça se passe 74 rue Lauriston, à Paris.
Le jeu de paume, le royal ancêtre.
1515, n'est pas seulement l'année de la victoire de François 1er à Marignan. Cette date marque aussi l'apparition de la raquette, appendice utilisé par les joeurs de paume pour se protéger la main. François 1er était un pratiquant acharné, comme ses descendants valois. Le bourbon Louis XIV était lui rétif au jeu de paume (en réalité sa goutte l'avait condamné au billard) et la pratique s'est réduite aux XVIIe siècle et XVIIIè siècle, avant de céder la place au XIXe au TENNIS au SQUASH, et au BADMINTON.
Les salles de jeu de PAUME ont toutes disparu, à l'exception de celle du 74 rue Lauriston, à Paris.
C'est là que se tient jusqu'à dimanche l'Open de Paris, seul grand tournoi français, où s'affrontent les meilleurs professionnels venus de Grande-Bretagne, des USA, d'Australie et de... France (le jeune Matthieu Sarlangue est numéro 12 mondial).
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Soit, comme "esprit d'équipe", il y a peut-être mieux... éplucher 200 kilos de POMMES avec tous ses potes pour élaborer une tarte gigantesque... pas mal aussi !
Salut, bon courage pour la semaine à venir
Pierre-Jean
"J'aime regarder les filles...."
03/09/2016 22:19 par pierre-jean
Patrick Coutin le chantait si bien...
Pierre-Jean :
"J'aime regarder les filles... dont la félicité, la liesse... l'allégresse peuvent être implacables, brutales, INAPAISABLES aussi !!!!!....... mais celles qui ont ceci... de délicat, mais de barbare également, de mon point de vue.... qui appartient au coquelicot. Ce coquelicot ô combien rouge !!
Et puis, "j'aime regarder" celles-ci, belles, qui envoûtent par leur propre magnétisme...
Enfin, j'aime regarder surtout cet éclat immuable dans le regard....
Eh toi, ne baisse pas tes jolis yeux !
.................. Voilà, regarde l'horizon, et laisse-moi me perdre dans tes profondeurs.....
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Les écrits de Pierre-Jean.
Pour vous, femmes de vipblog qui ont les plus belles histoires, au fond de vos yeux !
Pierre-Jean
Fesse - Bouc
31/08/2016 00:16 par pierre-jean
Facebook..... hein ? C'est "Fesse Bouc", pas Facebook.
# Sur FESSE - BOUC, il y a "MIMI" (oui, mais le type !) par exemple....
" Je m'appelle Mimi, je marche à la voile et à la vapeur, mais plus à la vapeur.
On me dit que lorsque je parle, c'est comme si je faisais "tchou tchou"... "coucou, c'est Michou, tchou tchou !"... "Attention, départ imminent pour Rondelle la Folle... tchou, tchou !".
Voilà, pour vous dire que je vais toujours de l'avant... J'ai 55 000 kms au derrière, mais je suis encore coté à l'"Anus", euh, à l'Argus.... Oh la la, c'est le mojito qui me monte à l'aquarium, désolé.
(il y a aussi la gelée.....)
Aujourd'hui, j'ai lu "Voyage au Centre de la Terre" de Jules Verne - je vous le conseille vivement - c'est jouissif... de pénétrer dedans, si vous saviez !
Cet été, je suis parti chez ma mémé, on a bouffé comme quatre. Elle fait bien la daube, mémé Gégène, je vais vous avouer un truc.... ça m'a fait péter.....Rrrrooooohhh...... je devrais pas, je sais.
J'ai un cochon dinde dans mon appartement, il s'appelle "Trouillard". J'ai bien compté, il a 66 semaines, déjà.
Bon, je m'excuse, je dois aller au petit coin pour faire pipi..... surtout, restez connectés, amis de "Fesse Bouc", je reviens ! Oh, ça alors.... je vois déjà sur le compteur de mon site = 1300 amis. C'est trop cooooolllll !!!
Je mettrais ma main au feu : c'est sans doute ce côté intellectuel de mon profil, avec "Voyage au Centre de la Terre", qui a séduit beaucoup d'entre vous !
Il ne me reste plus qu'à vous souhaiter "bonne bourre", et.... à tout de suite mes chéris ! Et vive "Fesse Bouc" ! #
Ecrit et publié par Pierre-Jean
.... Nul ne sera étonné si je dis que je me marre quand on me parle de Facebook.
Rien à cirer !!! Mais chacun est libre de ses choix....
Salut les copains, les copines, c'était pour se marrer....et pour ceux qui froncent les sourcils, je ne suis pas du tout homophobe !
Mais "fesse-boucophobe" !!!!!
Pierre-Jean
JE REVOIS TES YEUX CLAIRS
27/08/2016 10:48 par pierre-jean
Florent... Florent Pagny, ce sont les mots que j'ai choisis, depuis ta chanson "le soldat".
A l'heure où la guerre chasse
Des garçons par milliers
Si loin de la maison
Et la fleur aux canons
Ces autres que l'on tue
Sont les mêmes que moi
Mais je ne pleure pas
A l'heure où la mort passe
Dans le fleuve à mes pieds
De la boue qui s'en va
Des godasses et des rats
Je revois tes yeux clairs
J'essaie d'imaginer
L'hiver auprès de toi
Je ne suis qu'un soldat
Non, je ne reviendrai pas
Je n'étais qu'un soldat
Prends soin de toi
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Ecoutons-la, cette chanson.....................
Je suis un soldat.... la la la la la, LA LA LA LA....... Je ne suis qu'un soldat....
Prends soin de toi, femme aux yeux clairs.....................................................
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Les écrits de Pierre-Jean
Pierre-Jean