SOFIA

22/03/2017 12:38 par pierre-jean

De retour de voyage.    Nostalgie, nostalgie...    Les retours d'évasion doivent être gérés au mieux, quand on a pratiquement tout ramené dans ses valoches. Le charme de la ville, le son des sabots du cheval qui frappent le pavé.... cheval qui n'est pas une rossinante ! et la photo d'une "Sofia"! Sofia, qui n'est pas une rossinante non plus (clin d'oeil)...

D'abord, foule immense dans cet édifice. Hommes et femmes qui donnent tout de leur personne.

Je me laisse emporter par un élan d'amour, naturel, spontané, indicible, au milieu de ce bel attroupement. Habité par la joie, et le désir de tout donner, moi aussi.

     Autre scénario. Là, on peut parler d'une "putain de nuit". Dans un piano-bar, avec orchestre-Jazz, je me suis gorgé de nourriture, j'ai creusé ma fosse avec les dents ! Bonne ambiance, bel orchestre. 

     Et puis, il était une fois Sofia... très belle.  "Bonsoir, je m'appelle Pierre-Jean, et vous?". 

"Bonsoir, je m'appelle Sofia".

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                  Ah... qu'il était bon cet "hamburger-jazz", comme ils le nomment là-bas !

Et la "Bierhalle Pils", non moins succulente !

                 J'y retournerai.

                     Ecoutez encore avec moi le tambourinement de ces sabots, sur le pavé. Une vraie jouissance. CLAC CLOC CLAC CLOC CLAC CLOC

                                                       A très vite                     Pierre-Jean

Courage et gentillesse d'une Femme

08/03/2017 21:41 par pierre-jean

"Au Bonheur des Dames", ZOLA.............. en n'oubliant pas cette journée.... dédiée à ces dames.  

Avec :  DENISE 

Ma sélection: page 189. [ " Avant de se mettre au lit, DENISE voulait achever de recoudre son soulier et faire son savonnage. Le froid devenait plus vif, à mesure que la nuit avançait. Mais elle ne le sentait pas, cette causerie avait remué tout le sang de son coeur. Elle n'était point révoltée, il lui semblait bien permis d'arranger l'existence comme on l'entendait, lorsqu'on SE TROUVAIT SEULE ET LIBRE SUR LA TERRE.  

JAMAIS elle n'avait obéi à des idées, sa RAISON DROITE et sa NATURE SAINE la maintenaient simplement dans l'honnêteté où elle vivait. Vers une heure, elle se coucha enfin. Non, elle n'aimait personne    [ vous l'avez compris, chers blogeurs, Zola, lorsqu'il affirme ceci, nous fait comprendre qu'elle n'avait pas d'homme dans sa vie ]. Alors, à quoi bon déranger sa vie, gâter le dévouement maternel qu'elle avait voué à ses deux frères ? 

Pourtant, elle ne s'endormait pas, des frissons tièdes montaient à sa nuque, l'insomnie faisait passer devant ses paupières closes des formes indistinctes, qui s'évanouissaient dans la nuit.]

........... Page 191 : [ Certes, elle ne jalousait pas les demoiselles qui disparaissaient le soir avec leurs amants, elle était heureuse de sa solitude, de cette sauvagerie où elle vivait enfermée, comme au fond d'un refuge ; mais son imagination l'emportait, tâchait de deviner les choses, évoquait les plaisirs sans cesse contés devant elle, les cafés, les restaurants, les théâtres, les dimanches passés sur l'eau et dans les guinguettes. Toute une fatigue d'esprit lui en restait, un désir mêlé de lassitude; et il lui semblait être déjà RASSASIEE de ces amusements, dont elle n'avait jamais goûté. ].

# Mais DENISE est FEMME, quoi qu'il en soit = page 193  :

[ Denise, sous ces haleines chaudes qui éveillaient peu à peu la femme en elle, gardait encore sa paix d'enfant. Seule, la rencontre de Hutin lui remuait le coeur. Du reste, ce n'était à ses yeux que de la reconnaissance, elle se croyait uniquement touchée de la politesse du jeune homme. Il ne pouvait amener une cliente au rayon (du magasin), sans qu'elle demeurât confuse. Plusieurs fois, en revenant d'une caisse, elle se surprit faisant un détour, traversant inutilement le comptoir des soieries, la gorge gonflée d'émotion. ]                    

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                          Je m'absente plusieurs jours..... alors, à très bientôt !

                                                                 Pierre-Jean                              

Chevaux, marins ou non

26/02/2017 17:47 par pierre-jean

A partir du roman "Les déferlantes".   Gallay.

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Les nids..... Et la mer, et les chevaux.....  marins ou non.

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P. 48 # L'endroit était sauvage, certainement l'un des plus beaux de la côte. L'été, quand les bruyères seraient en fleurs, la lande allait prendre des couleurs d'Irlande. Je n'avais encore jamais vu l'été ici.  Il paraît que certains jours, dans les près qui surplombent la plage d'Ecalgrain, on pouvait apercevoir les chevaux. Morgane disait que cette plage était à elle, qu'elle lui appartenait. Quand elle voyait des randonneurs, elle les caillassait du haut des rochers.

    J'ai continué sur le sentier du Nez de Jobourg. Des colonies d'oiseaux venaient se reproduire là, en toute liberté. L'accès au domaine était interdit. Il y avait des clôtures, des panneaux. Cela n'empêchait pas les randonneurs de se glisser sous les barrières.

En six mois, j'en avais déjà chassé plusieurs. Les nids avaient tenu, sauf un, celui d'un jeune couple de cormorans. C'était un nid mal construit, fait sans patience, le vent l'avait arraché avec les trois poussins qui étaient dedans. Je me suis assise tout en haut d'un grand rocher qui surplombait la mer. Un oiseau sentinelle s'est posté à quelques mètres de moi. Je l'ai dessiné. J'ai noté ses couleurs. Après, je me suis couchée, le dos au rocher, j'ai fermé les yeux. J'avais trop regardé le soleil. Des tâches de couleur dansaient derrière mes paupières, on aurait dit des petits hippocampes de feu ! #

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                        L'hippocampe, appelé encore "cheval marin".

         Galopez bien cette semaine, et n'oubliez pas de sortir la tête de l'eau de temps en temps !                                                   

                                                      Salut                             Pierre-Jean

                                                                               

 

 
 

Lydie à la conquête d'Elvis

19/02/2017 08:48 par pierre-jean


Je me suis inspiré d'un article créé par Betty Boop (bonjour Lydie) dans son blog, "Betty Boop et Elvis Presley" ; au passage, bravo Betty, ça swingait !.

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Voici à présent l'histoire d'une femme, Betty Boop, transformée en une "Calamity Jane", car elle a su "prendre le taureau par les cornes" pour parvenir à ses fins... et conquérir cet homme qui lui plaisait, Elvis.   Calamity Jane, oui, c'est cette personnalité de la Conquête de l'Ouest, qui a joué un grand rôle dans les guerres indiennes. Calamity Jane, exploratrice, pionnière, éclaireuse.....  qui, dans ma petite histoire, a su éclairer un Elvis complètement dans l'ombre.... qui partait sur une très mauvaise piste ! Donc, disais-je, voici la petite histoire de "Lydie à la conquête d'Elvis".

C'est parti !

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Betty Boop, robe rouge, rencontre Elvis Presley. Elle est très émue, et ne sait comment aguicher gentiment Elvis. Elle prononce ces queques mots : " Je suis Betty Boop. Poo-poo-pee-doo !".   

Mais Elvis, de son côté, est très direct : "Beau cul... Jolie Pee-doo.... "love me tender"... [vous reconnaissez la chanson]. Aussitôt, les deux chiens célèbres de Betty Boop, Pudgy et Bimbo, mordent les cacahuètes d'Elvis, oui, ses cacahuètes... ça n'a pas traîné. "Ouille, ouille !" hurle Elvis. "''Faut pas dire  # beau cul # !" aboie Pudgy !

Betty Boop calme le jeu, car, comme vous le savez tous, elle n'est pas foncièrement méchante. "Tout doux, tout doux, mes trésors" (elle s'adresse bien sûr à ses chiens). " Hound dog !" crie Elvis.  [c'est encore une de ses chansons : hound dog, pour "chiens de chasse"].   "No, no, répond Betty, pas chiens de chasse, mister Presley, mais : Chiens-Classe ! ; car, pour votre gouverne, je ne m'appelle pas Pee-doo, mais BETTY BOOP !".

Conquis, Elvis rétorque : "ok, ok, miss Betty Boop, I love you. Et vous êtes bien mieux roulée que Marylin Monroe ou Helen Kane..."

"Poo-poo-pee-doo, Elvis chéri !"

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Le mot de la fin :  " Il faut parfois prendre le Taureau (ici, l'homme) par les couilles, pour le mettre dans sa poche".

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          Merci Lydie de m'avoir donné la première clé pour écrire cette histoire mignonnette.

           Je garde les photos du géant Elvis, et des deux toutous Pudgy et Bimbo, que tu m'as envoyées.   Merci encore

                  Bon dimanche, allez-y doucement quand même avec les cacahuètes à l'apéro !

                                                                             Salut               Pierre-Jean
 

 
 

De l'amour

13/02/2017 22:30 par pierre-jean

Quelques maximes plaisantes tirées du bouquin de Guillaume Musso : "l'instant présent", maximes placées en introduction de certains chapitres.

"... j'ai songé alors que ce qui est violent, ce n'est pas le temps qui passe, c'est l'effacement des sentiments et des émotions. Comme s'ils n'avaient jamais existé".  Laurence Tardieu.

"... la plupart de ceux qui ont un peu de jugeote savent [que l'amour] change au fil du temps. Selon l'énergie qu'on lui consacre, on le garde, on s'y accroche ou on le perd".      Colum Mc Cann

"... il est très rare que deux personnes veuillent la même chose à un moment précis de l'existence. Quelquefois, c'est l'aspect le plus dur de la condition humaine".     Claire  Keegan

"... Aimer, est une aventure sans carte et sans compas où seule la prudence égare". Romain Gary

"... Ce n'est pas l'amour qui dérange la vie, mais l'incertitude de l'amour".  François Truffaut.

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                                                     Belle journée

                                                                     Pierre-Jean

 

Salade de fruits......

09/02/2017 18:38 par pierre-jean

Une amie blogueuse m'écrivait : " le sein est une pomme dans une poire où pointe un grain de raisin. Le sein est le maximum du fondu : tous les fruits en un". De Malcom de Chazal.

Citation sublime !   Bravo.

Par contre, il y a celle de Claire Chazal :

"Mon sein est une datte dans une échalote où pointe un clou de girofle.

Mon sein est le minimum du fondu : ça se résume à la datte".

...................on t'aime Claire, ce n'est qu'une plaisanterie non inamicale !

( je pensais peut-être glisser ce court article dans "orgasme post-lecture", et puis......

     finalement, non, je me suis dit "ça va pas le faire du tout, du tout ! )

                                                               Pierre-Jean

Ces seins qui nous gouvernent

02/02/2017 19:44 par pierre-jean

Il m'est arrivé, déjà, d'écrire un article ayant ce titre-là.   Mais j'en ai oublié le contenu, et puis je ne l'ai pas archivé.      Le texte que voici est complètement nouveau, même si le titre reste strictement le même. Pourquoi ?      C'est tout simplement tellement vrai, de mon point de vue : les seins nous gouvernent !

Le sein : petit ou gros : en taille. Petits ou gros, pour les bouts : attirants, voire mangeables (hum...). Rose, brun, ou d'une autre couleur.... acceptable, tolérable. Ferme, moins ferme ; on le sous-pèse, considère du bout de nos doigts masculins, ou avec la paume de notre main... la gauche... ou la droite... eh bien, disons la plus instruite !

Le sein est un des plus beaux trésors que le mâle puisse trouver sur cette putain de planète. Je dirais, pour ma part, probablement le plus beau trésor, la plus belle merveille. Patience, on y arrive : parlons des deux seins. Vertige ! Joyau, miracle, multiplié par deux !

Ils sont pour les femmes une richesse, une somptuosité. Ils sont souvent beaux, et nourrissent les bébés, pour en faire de futurs guerriers. Puis ils étourdissent les hommes, au point que Maîtresses et Epouses tiennent ces hommes pour ainsi dire en respect. "Des seins qui peuvent jusqu'à nous tenir en respect, comme avec un couteau".

Car enfin, nos yeux d'homme les cherchent en permanence. Jusqu'à ce qu'ils les trouvent, ou les retrouvent... les seins apaisent une faim de loup! Faim jamais apaisée, il faut se rendre à l'évidence. Toujours réactivée, régénérée, même une fois que les seins aient été complètement dévorés, engloutis.

Le désir et la passion du sein, sont perpétuels, permanents, immuables. Au point d'en devenir parfois esclave, ou chien-crampon ! La dérive vers une véritable fureur est chose courante. L'appétit, la religion pour le sein prennent de telles proportions pour le mâle, que celui-ci se sacrifie, perd la raison...  ou en arrive à tuer, pour lui !

Tant et si bien que je ne peux que me résigner à penser que ceux qui nous gouvernent vraiment ici-bas, nous les hommes... ce sont eux, Vos Seins !

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                ... et sein pointu... n'est pas forcément le couteau à l'origine de la plus belle blessure !

                         A très vite   (avec la même sagesse, soyez-en certaines, Vous, mesdames)

                                                                                       Pierre-Jean

Rédigé, publié par P-J le 02/02/17.

 

 

 

LA BD s'ouvre à un nouveau registre.

28/01/2017 23:57 par pierre-jean

La Bande Dessinée s'ouvre à un nouveau registre : celui des réflexions philosophiques, mathématiques ou sociologiques. Elle rend évident le COMPLEXE, un trait étant parfois plus efficace qu'un long discours. Dessiner le hasard ou le théorème d'incomplétude. Voilà une poignée d'années que la BD s'est franchement emparée des sujets d'actualité les plus polémiques comme des réflexions les plus conceptuelles, issues des mathématiques ou des sciences sociales. Dernière illustration de la percée des idées dans le milieu, la fable philosophique de Sophie Guerrive "Tulipe" (éd.2024) figure parmi les 42 titres retenus dans la sélection officielle du festival d'Angoulême. Un des grands terrains à déchiffrer : l'essai en Bande Dessinée. Les Arènes publiaient récemment une nouvelle version enrichie du best-seller américain "Economix", la première histoire de l'économie en BD, écoulée à plus de 100 000 exemplaires en deux ans.

NON FICTIONEn France, comme à l'étranger bien sûr, le DEBAT d'idées n'a jamais été totalement absent de la BD. Les MANGAS sont aussi friands des adaptations. Les éditions Soleil ont sorti en France une palanquée de ces livres de vulgarisation, de la "théorie de la relativité" d'Einstein, au "Contrat Social"de Rousseau. En 2009, une version MANGA de "Mein Kampf" s'était vendue au Japon à plusieurs dizaines de milliers d'exemplaires (mieux que le "Capital", dans la même collection). Mais il y a eu un essor, ces dernières années, de la BD de non-fiction. En fait, "les projets d'ouvrages consacrés aux sciences humaines et sciences dures se sont élargis à la BD", note le dessinateur Jul auteur de la "Planète des Sages", ou de "Survivre au travail avec les philosophes". Ou encore "Histoire dessinée de la France", de l'historien Sylvain Venayre. C'est aussi dans la BD documentaire que la collection "Sociorama" éditée par Casterman, a pris racine. Après avoir mis en images (avec drôlerie !) l'insécurité et le racisme des chantiers ou la précarité des caissières des hypermarchés, "Sociorama" consacre son dernier volume à quelques "Nouvelles de la Jungle - de Calais - conçu par Lisa Mandel et Yasmine Bouagga. Cette dernière planche sur un texte, au sujet des "modes de gouvernance" du camp de Calais. "La BD permet de restituer l'épaisseur du terrain, les styles vestimentaires des personnes rencontrées, la décoration d'un bureau... des détails qui en disent long et sur lesquels on ne peut s'étendre dans un travail universitaire".

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  Mis en forme, résumé par Pierre-Jean, à partir d'un article ciblé dans un quotidien paru le 26/01/17.

             Ouai....... une version MANGA de "Mein Kampf". On tombe sur son derrière tous les jours.  Je n'étais pas vraiment fan des MANGAS, mais alors là...  les retombées radioactives de la dernière catastrophe de la centrale nucléaire auraient-elles perturbé les japonais, au point d'accoupler MANGA avec ce livre imbuvable ?      Mais je vous l'accorde, chacun est libre de choisir... sa BD.

Pour ma part, celle-ci, je ne pourrai la "saké".

                                                                     Salut,   à très vite  !

                                                                                 Ami     Pierre-Jean

 

 

Vas-y, vas-y, amie !

25/01/2017 23:37 par pierre-jean

Quand j'apprécie,  je monte sur les toîts et je m'époumone. Sans jamais avoir froid aux yeux.

Vas-y,  PERCEPTIONS,   "PERCE, EXCEPTION" !!   Ton blog est bon, il fait du bien, et c'est beaucoup.         Vas-y, appuie, encore,   tu vas faire du très bon.

La musique est envoûtante,   tu es délicate et généreuse.  Rien n'est brutal, tu nous offres des clés, sans nous ouvrir franchement les portes : "modelez vos sentiments, vos idées, depuis les pistes sur lesquels je vous conduis", sembles-tu nous susurrer.     C'est pour le moins ce que je sens vibrer en moi quand je viens dans ton univers.

                                     Alors voilà....   c'est juste que j'en redemande... encore.

                                     Sans hésiter

                                                        Amitiés              Amie

                                                                            Pierre-Jean

                                            

La vaseline comme subterfuge

21/01/2017 06:58 par pierre-jean

Extrait du journal l'Equipe, du 19/01/2017.

Question à Pascal ONDARTS, 60 ans, ancien pilier rugbyman de Biarritz.

(l'ancien pilier garde de forts souvenirs de sa carrière en équipe de France, sous Jacques Fouroux.)

Question : "Quel est le joueur le plus pénible avec lequel vous avez joué ?".

# " Iain Milne, le droitier écossais. Il faisait 1.90 m, 130 kilos. Lors du Grand Chelem 1987, on bat l'Ecosse au Parc (28-22).

On m'avait dit :"Attention, il est très gaillard". Je l'avais pris au short, bras gauche tendu.

Il ne pouvait pas bouger et me rentrer à l'intérieur. Deux mois après, on retrouve l'Ecosse pour le premier match de Coupe du monde en Nouvelle-Zélande (20-20). Il avait cousu la poche de son short et mis de la vaseline ! J'en avais chié terrible, je ne pouvais pas le prendre..."#

Autre question à Ondarts : "Quel est le joueur le plus fort avec lequel vous avez joué ?"

# "Serge Bianco. On a fait toute notre carrière ensemble. Pour moi, c'est le plus fort de tous les temps"  #

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                             La vaseline.....    multi-usage

                                                                  Salut                       Pierre-Jean